Clinton ne se présentera pas

Je vais continuer à travailler, à défendre et à défendre ce que je crois « , a déclaré Mme Clinton à la chaîne de télévision News 12 de New York, même si » je ne cours pas. Il était généralement prévu que Mme Clinton deviendrait la première femme présidente des États-Unis, avant la défaite choquante de M. Trump en tant que candidate démocrate en 2016. Interrogée par News 12 si elle se présenterait de nouveau à une fonction publique à l’avenir, elle a déclaré: « Je ne crois pas. L’entretien d’embauche est au premier essai Mme Clinton a définitivement réfuté les rumeurs voulant qu’elle puisse affronter à nouveau M. Trump en 2020. Elle a déclaré avoir parlé à plusieurs candidats démocrates déclarés pour 2020. « Je les ai toutes informées, n’acquérez rien pour acquis », a-t-elle mentionné. Mme Clinton a été la 1ère candidate à la présidence féminine de tout rassemblement américain important dans le passé historique de la nation. Elle était accusée de s’appuyer excessivement sur de riches donateurs, trop proche de Wall Street et hors de contact avec les électeurs plus jeunes, bien que son accession à la haute direction soit largement considérée comme quasi garantie. Elle a été pillée sans relâche par M. Trump, qui a poussé les foules autour du sentier stratégique à chanter « Secure her up ». Sa conquête a encouragé une période de recherche spirituelle pour le Parti démocrate, qui se prépare maintenant pour une compétition principale ouverte qui comprend déjà plus de 10 challengers qui publient un exploit. Le sénateur du Vermont et grand finaliste démocrate 2016, Bernie Sanders, sera le dernier démocrate à avoir jeté sa casquette sur le ring. Le titre de base de M. Sanders et la reconnaissance de son assistance sur la liste des partis à la gauche l’ont catapulté au premier plan. Il rejoint le sénateur du Massachusetts Elizabeth Warren, qui a été le tout premier grand titre à exprimer une gestion, aux côtés du sénateur du New Jersey Cory Booker et de la sénatrice californienne Kamala Harris. La sénatrice Ny, Kirsten Gillibrand; Le sénateur du New Jersey, Cory Booker; La sénatrice du Minnesota, Amy Klobuchar; le maire de San Antonio et du Texas, Julian Castro; avec le maire de SouthernBend et de l’Indiana, Pete Buttigieg, il s’agit du premier individu librement gay à exercer ses fonctions de président. Certains des noms dont on parle le plus n’ont pas encore exprimé leurs objectifs. Le premier gentil directeur adjoint, Joe Biden, songe à courir. Il aime la meilleure identification de marque aux États-Unis, et les analystes affirment qu’il ferait passer les autres candidats au dernier échelon des sondages annoncés tôt dans le scrutin. Beto O’Rourke, un ancien membre du Congrès de Tx qui avait attiré l’attention du gouvernement fédéral lorsqu’il a couru une compétition abrupte devant le Sénat contre le président républicain Ted Cruz, a mis en réserve les fans et les contributeurs potentiels pendant qu’il soupèse ses choix. M. O’Rourke a mené une campagne non conventionnelle pour le Sénat, proposant des modifications sans faille sur les sites Web sociaux, alors qu’il conduisait dans les 254 zones concernées, alimenté par des centaines de milliers de dollars en dons de bienfaisance.

Les tentations du voyage moderne

Curieusement, je n’avais encore jamais visité Saint Louis. Je ne sais pas pourquoi, l’occasion ne s’était encore jamais présentée. Une erreur que j’ai pu enfin réparer la semaine dernière, à l’occasion d’un voyage de groupe. Bien sûr, j’imagine que ce périple ne vous paraît pas particulièrement exceptionnel. Il est vrai qu’à notre époque, c’est un voyage qu’il est facile de faire. Mais c’est en fait parce que l’époque dans laquelle nous vivons est réellement exceptionnelle. A tel point que j’ai eu envie d’en parler ici. C’est fou, comme le monde a changé en si peu detemps. Pour rappel, il y a encore deux générations, nombre de gens vivaient toute leur vie dans leur bourgade et n’en bougeaient pas. Un modeste voyage à Paris était déjà quelque chose ! A notre époque, pourtant qui ne va pas à Paris ? Paris, c’est la porte à côté. Nous voyageons aux quatre coins du monde si naturellement que nous n’y prêtons même plus attention ! Et ce n’est là que le sommet de l’iceberg, en vérité. Avec le web, une révolution encore plus grande est à l’oeuvre. C’est un nouvel homo sapiens qui est en train de naître sous son influence. Les penseurs des Lumières se seraient littéralement extasiés devant cette invention. Oui, nous vivons une époque fabuleuse et nous ne le réalisons même pas. Le progrès technique est à l’origine d’améliorations sans précédent. Bien sûr, notre monde n’est pas pour autant parfait. Nous avons même quelques sacrés retours en arrière, ces derniers temps (comme l’élection de Trump, qui marque le retour en force du populisme). Mais plutôt que de voir le verre à moitié vide, il faudrait sans doute garder en tête la chance que nous avons de vivre de nos jours, à une époque où l’on peut réaliser tant de choses et vivre jusqu’à cent cinq ans comme Robert Marchand. Nombre de maux trouveraient une solution si l’être humain savait apprécier cette chance énorme qui est la sienne… Tenez, s’il vous prend l’envie de voyager, je vous mets ici l’agence où j’ai dégoté ce voyage à Saint Louis. Elle présente de nombreuses destinations assez aguichantes, je dois dire, et il n’est pas impossible que je reparte sous peu ! ^^ Plus d’information sur ce voyage aux USA en surfant sur le site de l’organisateur.

Les chinois n’aiment pas les drones US

Le gouvernement chinois ne dit rien, mais il fait parler sa presse. Et sa presse, sur un ton modéré et un peu moqueur, évoque les dégâts collatéraux des tirs de drones américains. L’occasion de cette évocation, c’est l’exécution récente, par le moyen d’un drone, du chef des talibans afghans, Akhtar Mohammad Mansour – aussitôt tué, aussitôt remplacé d’ailleurs. Le “dommage collatéral” – en la circonstance, le chauffeur de Mansour – fait partie des euphémismes utilisés par les autorités américaines, comme “exécution ciblée” pour assassinat, “interrogatoire renforcé” pour torture, ou “ennemis tués au combat”, pour civils tombés sous les drones. Non sans sourire, la presse chinoise rappelle l’époque pas si lointaine où le jeune sénateur de l’Illinois, Barack Obama, critiquait sévèrement la manière dont le président George Bush menait la guerre contre le terrorisme. Et les Chinois s’en prennent aux frappes d’Obama, non seulement en Afghanistan – contre des Afghans, et en fait, souvent au Pakistan – mais aussi en Syrie, au Yémen, en Somalie et en Libye. Dans ces derniers pays, ils font observer que la règle fixée par Obama lui-même, selon laquelle les frappes de drones doivent être utilisées seulement contre des cibles qui représentent une menace “continue ou imminente” pour les États-Unis, n’est guère applicable. Sur le fond de cette guerre américaine, les Chinois n’expriment aucune contestation. Ils se félicitent même que l’armée pakistanaise, deux jours avant la frappe qui a touché Akhtar Muhammad Mansour, ait tué, par voie aérienne, huit talibans, parmi lesquels le mollah Mazarnal, chef d’une province du sud de l’Afghanistan réfugié au Pakistan. La politique américaine et la politique chinoise vis-à-vis du Pakistan sont d’ailleurs depuis longtemps convergentes. Et, de façon plus générale, la Chine soutient les opérations armées contre les terroristes islamistes, qu’elle combat sur son propre territoire. Elle conteste seulement les attaques contre “les ennemis de nos ennemis”, Bachar El-Assad ou Kadhafi. “Le “dommage collatéral” fait partie des euphémismes utilisés par les autorités américaines, comme “exécution ciblée” pour assassinat, “interrogatoire renforcé” pour torture, ou “ennemis tués au combat”, pour civils tombés sous les drones” Mais les Chinois ne sont pas mécontents de renvoyer à l’expéditeur des leçons sur les droits de l’homme, les critiques qui s’expriment à l’intérieur même des États-Unis. Comme celles du journaliste d’investigation Jeremy Scahill, auteur de ‘The Assassination Complex?: Inside the Government’s Secret Drone Warfare Program’. C’est une dénonciation, sur la base de documents secrets, de la façon dont est conduite la guerre anti-terroriste. L’auteur prétend que 90?% des personnes tuées dans les attaques par drone ne font pas partie des objectifs explicitement visés. Sans doute reconnaît-il que les attaques commandées à distance évitent des morts américaines?; mais il observe qu’elles provoquent la mort de nombreux étrangers qui, s’ils ne sont pas toujours innocents, ne font pas partie des individus visés.