Comment les expériences de vie nous aident à nous connecter à nous-mêmes et aux autres

Les êtres humains sont des créatures compliquées qui ont la capacité de ressentir, de penser et d’expérimenter réellement. Être vivant, c’est plus que d’avoir une existence physique ; cela exige la capacité de percevoir et d’interpréter le monde qui nous entoure. L’importance des expériences de séjour dans le sentiment de vivre pleinement est un sujet qui a été découvert par de nombreux philosophes à travers l’histoire. Dans cet article, nous allons nous pencher sur la valeur des rencontres vivantes pour nous aider à nous sentir vraiment pleins de vie.

L’expérience de la vie est caractérisée par l’accumulation constante d’expériences. C’est grâce à ces expériences que nous pouvons grandir, apprendre et acquérir une meilleure compréhension de nous-mêmes et du monde qui nous entoure. Chaque fois que nous nous engageons dans des expériences nouvelles et passionnantes, nos sens sont exacerbés et nous devenons plus attentifs au moment présent. Ce sentiment d’être plein de vie est essentiel au bien-être et constitue un aspect essentiel de l’expérience de l’être humain.

L’une des principales raisons pour lesquelles les expériences de résidence sont extrêmement importantes est qu’elles nous aident à nous libérer de la monotonie de nos programmes quotidiens. Lorsque nous nous engageons dans de nouvelles activités, nous devons sortir de nos zones de confort et affronter de nouvelles difficultés. Cela peut être à la fois effrayant et exaltant, mais cela conduit finalement au développement et à l’épanouissement personnels. En découvrant de nouvelles perspectives, Tematis nous apprécions davantage le monde qui nous entoure et sommes mieux à même d’y comprendre notre place.

Une autre raison pour laquelle les rencontres vivantes sont si essentielles est qu’elles nous donnent un sentiment d’objectif et de sens. Lorsque nous nous engageons dans des activités qui nous enthousiasment, nous éprouvons un sentiment de satisfaction qu’il est difficile de reproduire par d’autres moyens. Que ce soit par le biais des voyages, du bénévolat ou simplement en essayant de nouvelles choses, les expériences vivantes ont le pouvoir d’allumer en nous un sentiment d’objectif et de nous aider à trouver un sens à notre vie.

Les rencontres vivantes sont également importantes pour nous aider à établir des liens significatifs avec les autres. Lorsque nous nous engageons dans des activités avec d’autres personnes, nous sommes en mesure de partager l’expérience et de créer des liens fondés sur des intérêts et des expériences communs. Ces liens sont essentiels car ils nous donnent un sentiment d’appartenance et nous aident à nous sentir réellement plus attachés au monde qui nous entoure.

On ne saurait trop insister sur l’importance des rencontres pour se sentir vivant. S’engager dans des expériences nouvelles et passionnantes est essentiel pour notre croissance, notre développement et notre bien-être général. C’est vraiment grâce à ces expériences que nous sommes en mesure de rompre avec la monotonie de nos routines quotidiennes, de découvrir un but et un sens, et de nouer des liens significatifs avec d’autres personnes. En donnant la priorité aux expériences vivantes, nous sommes en mesure d’embrasser pleinement l’expérience humaine et de trouver l’épanouissement dans tous les aspects de notre vie.

Le climat et la géographie

La terre est susceptible d’être au moins 3°C plus chaude en 2100 qu’au moment de la création même lorsque des actions instantanées et extrêmes sont menées (Tollefson 2020). Le changement climatique est donc un obstacle déterminant de nos propres occasions (la perte de biodiversité est tout aussi pressante). Les situations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) offrent une modélisation avancée des interactions complexes entre l’activité humaine et le climat. Mais, leur modélisation des effets spatiaux hétérogènes et des marges multiples affectées par cette tendance reste assez simpliste (Cruz et Rossi-Hansberg 2021a, 2021b). Abordant le numéro d’Oswald et Stern (2019) et les derniers efforts ultérieurs comme le problème unique du journal Financial Policy (Azmat et al. 2020), nous avons maintenant rassemblé cinq documents dans un nouveau problème spécial du Journal of Economic Geography (JoEG) qui jouent un rôle dans la résolution de ces points faibles et abordent les raisons principales de deux thèmes principaux de la géographie financière du changement climatique.1 Initialement, le changement climatique produit des effets qui sont hétérogènes à travers la pièce. À leur tour, certaines régions du globe perdront plus de population et de production pour chaque habitant que les autres, et certaines pourraient même être bien mieux loties en conséquence. Plusieurs documents de ce numéro unique documentent cette hétérogénéité à une grande échelle spatiale. Par exemple, Shape 1 passe en revue l’alternance de température prévue à partir d’une augmentation de 1°C de la chaleur mondiale dans une résolution de 1° x 1° pour l’ensemble de la planète autour de 2200.2 L’hétérogénéité qui en résulte est stupéfiante. Deuxièmement, les humains (ainsi que d’autres variétés) devront s’adapter pour vivre. Les marges d’action pour ralentir le réchauffement climatique incluent la création d’habitudes d’utilisation et de procédures de création beaucoup moins intensives en dioxyde de carbone et en méthane. Un certain nombre d’articles sur ce problème unique mettent l’accent sur l’adaptation par la migration et la mobilité géographique. En particulier, les articles soulignent comment une mobilité insuffisante pourrait contribuer à aggraver les coûts socio-économiques du changement climatique. Dans le premier article du numéro unique, Conte, Desmet, Nagy et Rossi-Hansberg (2021a ; voir aussi Conte et al. 2021b) abordent chacun des thèmes mentionnés précédemment, et nous organisons cette chronique Vox en fonction de leur point de vue. Les auteurs présentent une conception quantitative de croissance spatiale dynamique mettant en vedette, comme avec la fonction révolutionnaire de William Nordhaus (1993), les relations à double sens entre l’activité économique, les émissions de dioxyde de carbone et la chaleur. Notamment, l’évaluation permet deux secteurs (agriculture et basse agriculture) qui réagissent de manière hétérogène à la chaleur, ainsi qu’une désagrégation spatiale très fine – les auteurs fournissent à leur modèle des données sur la population, la température et la production sectorielle à un 1 résolution ° x 1° pour le monde entier, et avec des augmentations du stock de carbone et des plages de températures mondiales qui suivent le scénario du GIEC à forte intensité de carbone appelé Agent Focus Pathway 8.5. En utilisant la conception ainsi ajustée, ils l’ont laissé fonctionner pendant 200 ans pour quantifier les résultats spatialement hétérogènes du changement climatique sur la population, le PIB par habitant et le mélange de production d’agriculture et de faibles rendements agricoles. Ils s’inquiètent également des emplois du commerce et de la migration en atténuant ou en amplifiant les déficits causés par les changements climatiques pour chaque unité spatiale de 1° par 1°. Le scénario initial de Conte et al. (2021a) suppose que les frictions vers la mobilité des communautés et des biens sont continues dans le temps. Leur modèle anticipe que la Scandinavie, la Finlande, la Sibérie et le nord du Canada gagnent des communautés et voient des augmentations de revenu pour chaque habitant, tandis que l’Afrique du Nord, la péninsule arabique, l’Inde du nord, le Brésil et l’Amérique centrale perdent ces deux questions. La forme 2, qui reproduit la forme 6 dans leur article, rapporte l’effet du changement climatique sur la population attendue en 2200. L’agriculture devient spatialement plus concentrée et se déplace vers les pays d’Asie centrale, la Chine et le Canada. Ces scénarios impliquent un mouvement substantiel des communautés à l’intérieur et à travers les nations, en particulier si le commerce est coûteux. Par conséquent, les obstacles à la flexibilité peuvent créer des transitions beaucoup moins efficaces.

La collapsologie

Michel Rosell ramasse une masse de documents et les divise en deux piles. À gauche, des factures : une seule page. À droite, une gerbe de caractères de copains et d’amoureux. « Si la pile de lettres augmente plus vite que la pile de dépenses, vous êtes sur la bonne voie », dit Rosell. « Si c’est l’inverse, vous êtes sur la mauvaise voie. Ce n’est pas très difficile, la révolution que je suggère. »

Nous sommes assis sur un banc en bois, dans un bureau en bois, sous un toit fait de rubans de bois tressés, dans la maison de Rosell dans les Cévennes, un ensemble de montagnes dans le sud de la France. Rosell a l’air de quelqu’un qui lutte contre une tendance depuis un demi-siècle : cheveux blancs indomptés, torse et pieds nus, bas de survêtement sombre et sale. Un Robinson Crusoé battu par les intempéries, toujours en pleine forme et prêt à affronter des cannibales – ou des capitalistes – à 73 ans.

Ils résident ici, loin de toute rue ou autre habitation, depuis les années 70, peu de temps après être sortis, essoufflés et ensanglantés, des révoltes étudiantes de 1968 à Paris. Beaucoup de ses camarades rebelles ont préconisé un retour à un mode de vie plus simple, mais peu l’ont mis en œuvre. Il a trouvé un terrain isolé dans la zone la moins densément habitée de France et y a construit une maison bioclimatique, c’est-à-dire une maison dont les spécifications énergétiques sont réduites et dont l’empreinte environnementale est allégée.

Il a accumulé l’eau de pluie, fait du compostage, recyclé son eau potable usée et chauffé sa maison avec du bois de chauffage et des panneaux solaires. Pas pour lui la fonction salariée, qu’il qualifie de « cinq temps de prostitution accompagnés de deux jours de réanimation ». Il préfère prendre ce dont il a besoin – sans plus – dans la nature. Le jour où je passe à la caisse, il nous fait la démonstration d’un bassin peu profond rempli d’eau économe en électricité, où il développe la spiruline, une algue riche en protéines : savoureuse, dit-il, avec de l’huile d’olive et une gousse d’ail. Elle s’accorde avec une alimentation riche en plantes sauvages : 70 espèces en tout, qu’il cueille dans la forêt.

Rosell vit actuellement seul. Il n’a pas confiance dans le mariage et n’a jamais eu d’enfants, déclare-t-il, mais les individus ont approuvé à travers. Certains sont arrivés par intérêt, et sont repartis ; d’autres personnes ont emménagé. Il a appris à ceux qui étaient intéressés comment rester aussi autonome que possible. De jeunes adultes assez audacieux pour s’aventurer dans son université d’écosystème combiné appliqué ont construit des surfaces murales à partir de tournesols écrasés et de bouse de vache, des moteurs qui marchaient sur des algues, stage de survie et des matelas de roseaux qui transformaient les eaux usées en eau potable. Tout cela était résolument expérimental, et ne fonctionnait pas toujours. Mais sa stratégie, méprisée comme inhabituelle par ses contemporains, est apparue de plus en plus pratique aux générations effrayées que l’humanité ait ruiné la planète au-delà de toute restauration, puis urgente à la quantité croissante de ses compatriotes qui croient que leur société est au bord de l’effondrement.

La conviction que nous allons vers une sorte de situation d’effondrement n’est pas exclusivement française, évidemment. D’importants scientifiques du monde entier en parlent. Les Américains fortunés ont acheté des places dans des bunkers à l’épreuve de l’Armageddon bien avant Covid-19, et les mouvements militants de protestation environnementale et sociale sont en hausse partout. En Europe, cependant, une étude de marché publiée en novembre dernier par le thinktank français de gauche, la Fondation Jean Jaurès, a découvert que seule l’Italie battait la France pour le pessimisme concernant le long terme. Soixante et onze pour cent des Italiens et 65 % des Français sont d’accord avec la déclaration selon laquelle « la civilisation telle que nous la connaissons s’effondrera dans les années à venir » ; 56 % des Britanniques partagent cette vision apocalyptique – légèrement devant les Américains, à 52 % – tandis que les Allemands arrivent en dernière position avec un optimisme de 39 %. En 2015, deux Français, Pablo Servigne et Raphaël Stevens, qui se décrivent comme des experts impartiaux, ont coécrit un essai intitulé Comment tout peut s’effondrer, dans lequel ils ont lancé le mot « collapsologie ». Dans un long entretien que Servigne a accordé à la publication Philosophie cette saison, il a expliqué qu’au départ, leur néologisme avait la bouche en cœur. Mais l’idée a dû faire mouche, tout simplement parce qu’en quelques années, ils se sont retrouvés à la tête du mouvement, et cet été, le terme collapsologie est entré dans le dictionnaire français le plus populaire, Le Petit Robert. « Nous avons fait une bête », a déclaré Servigne à Philosophie.

La cuisine de confinement

Les nouvelles sont très mauvaises. Tu n’as pas besoin que je te le dise.

Le monde – oui, tout le monde – est en crise. Le coronavirus se propage, le chômage monte en flèche et une couche d’anxiété et de stress s’est installée à New York, où j’habite, comme un brouillard imperméable. Sur mon écran, je regarde le nombre de personnes infectées augmenter et le nombre de ventilateurs disponibles diminuer. Je m’inquiète pour mon père, qui travaille dans un hôpital du Mississippi et qui prépare des tartes pour les infirmières, et ma belle-sœur, un pédiatre travaillant dans une unité de soins intensifs d’Atlanta. Je m’inquiète pour mes voisins, qui sont des aides à domicile, des nounous et des employés du MTA, qui vont travailler pour que la ville soit toujours fonctionnelle de base, même maintenant. Je m’inquiète des réseaux de personnes qui en sortent. Je m’inquiète pour mes amis qui ont été licenciés, les employés de restaurant qui ont du mal à rester à flot, toutes les personnes qui font que vivre à New York en vaut la peine. Je me sens impuissant, inutile, frustré et effrayé.

Mais je sais que j’ai aussi énormément de chance. Non seulement je avoir un travail qui permet de travailler à domicile, un toit au-dessus de ma tête, et, pour le moment, ma santé, j’ai aussi un exutoire pour mon stress qui est disponible à une dizaine de mètres du canapé où j’écris ceci: mon cuisine.

À la fin de la vingtaine, la cuisine est passée, pour moi, de la corvée au répit. Cela demande de l’attention et de la créativité d’une manière que je trouve apaisante. Même si ma cuisine est ridiculement petite et que je n’ai pas grand-chose à voir, c’est un endroit où je peux marcher et me sentir un peu plus calme. C’est là que j’ai fait d’énormes repas élaborés, mangé des pizzas froides tout en parcourant le réfrigérateur et donné des cuillerées de purée de pommes de terre à des amis. La cuisine pour les autres me manque, mais je trouve toujours un grand réconfort dans l’acte de cuisiner. Lorsque je sors ma planche à découper et que je commence à hacher des oignons, mes épaules se détendent et une partie de mon cerveau passe à la mémoire cinétique de la façon de trancher, émincer, éplucher. Je garde mijoter une casserole de haricots ou une miche de pain juste pour vérifier, pour me rappeler la nourriture.

ne pas tout le monde ressent cette façon de cuisiner, c’est compréhensible. Il peut être lui-même une source de stress plutôt qu’un soulagement. Et ne vous méprenez pas, parfois ça me fait trop ressentir. Le lavage constant de la vaisselle et le réapprovisionnement des ingrédients, la fabrication des aliments, repas après repas. Ça ne finit jamais. Il faut du courage pour suivre les mouvements de la vie quotidienne, face à une telle incertitude écrasante et à de terribles prédictions sur l’avenir. Nous ne savons pas quand cela se terminera et nous devons donc continuer. C’est trop demander, mais c’est aussi tout ce que nous pouvons faire.

Je reviens toujours à quelque chose que Nigella Lawson a tweeté l’autre jour: « Je pense que la cuisine est une forme d’optimisme. » Je le crois aussi. Je sais que j’y trouve de la joie, et quelle que soit la joie que je puisse ramasser, on en a grand besoin ces jours-ci. Je sais que faire assez de nourriture pour demain est une façon de me dire que demain arrivera et ne sera pas, du moins, pas aujourd’hui. Beaucoup de gens comptent également sur la cuisine maison, certains en ordre de grandeur plus qu’ils avoir avant. J’espère que vous aussi pourrez y trouver de la joie, ou du moins une certaine satisfaction dans l’acte simple et vital de se nourrir, de se nourrir et de nourrir sa famille.

Voici ce que nous avons publié sur la façon de cuisiner à la maison en cette période de crise.

Achetez de la nourriture en toute sécurité
En temps normal, aller à l’épicerie est l’une de mes activités préférées. De nos jours, c’est beaucoup plus stressant. Voici ce qu’il faut savoir sur les achats de nourriture en toute sécurité en cas de pandémie.

Stockez bien votre garde-manger
Si vous avez besoin d’idées sur ce qu’il faut rechercher, voici des conseils sur la façon de stocker votre garde-manger pendant le coronavirus. Procurez-vous également quelques épices pour vous assurer d’avoir de la saveur quoi qu’il arrive. Si vous trouvez que l’organisation est un soulagement, voici un excellent guide pour mettre de l’ordre dans votre garde-manger. Si vous avez besoin de moyens pour maximiser l’espace dont vous disposez, voici quelques bonnes solutions de stockage.

Stockez les choses pour qu’elles durent
Une fois que vous aurez terminé votre course d’épicerie, vous voudrez la faire durer le plus longtemps possible. Apprenez à conserver correctement tout légume. Congelez vos produits laitiers ne sera pas utilisé à leur expiration (oui, même du lait). Conservez les herbes pour le long terme.

Gardez les idées de dîner à faible hauteur
Même si je ne quitte pas beaucoup la maison, il est difficile de se concentrer sur un grand projet de cuisine compliqué. J’ai eu de nombreuses nuits où j’ai besoin de quelque chose de simple et immédiat. Voici des recettes faites principalement (ou entièrement) à partir d’agrafes de garde-manger. Si vous voulez réduire la vaisselle, essayez ces dîners faciles à casserole ou ces repas que vous pouvez préparer dans une seule casserole. Besoin de quelque chose de sucré? Voici également quelques desserts simples à essayer.

Laisser mijoter quelque chose toute la journée
Si vous aimez, comme moi, avoir un projet de cuisine en arrière-plan de votre journée, voici nos meilleures recettes de mijoteuse, facilement adaptables à une cuisinière ou à une marmite instantanée. J’adore les haricots secs à cet effet, voici donc un guide sur la façon de cuisiner des haricots secs et comment les rendre délicieux, ainsi que comestibles, et un tour d’horizon des recettes de haricots de toutes les descriptions. Une autre bonne option est le braisage d’un gros morceau de viande, comme ces recettes.

Faire du pain
Faire du pain a quelque chose de magique. C’est si simple: eau, farine, sel, levure – et pourtant elle fournit tellement de nourriture. Voici un guide pour débutants de la cuisson au levain. Essayez-vous aux pains plats ou aux baguettes avec ces recettes de pain. Préparez une miche de pain de type boulangerie croustillante sans levain. Ajoutez un peu de vin à la pâte, recettes de cuisine pourquoi pas. Vous commencez juste à cuire? Voici quelques projets débutants à maîtriser.

Utilisez tout ce que vous pouvez
Enregistrez vos peaux d’oignon. Accrochez-vous aux restes pour faire un bouillon savoureux. Repousser les légumes à partir de restes. Gardez vos écorces de parmesan et ajoutez-les aux soupes et bouillons.

Stockez votre congélateur
Il est utile, émotionnellement et pratiquement, d’exploiter une vague de motivation et d’énergie pour faire des choses pour lesquelles vous n’aurez pas cette énergie plus tard. Voici quelques recettes qui se congèlent très bien, comme la sauce tomate, les soupes et le piment, pour que l’avenir vous permette d’en décongeler une partie. Besoin de recettes en gros lots que vous pouvez répartir au cours de la semaine prochaine? En voici 53.

Quoi que vous cuisiniez, n’oubliez pas que nous essayons tous de faire de notre mieux. Les choses ne doivent pas être parfaites pour être bonnes ou durables. Utilisez ce que vous avez, nourrissez-vous ainsi que vos proches et trouvez de la joie là où vous le pouvez.

L’argent de la Pharma

Je devrais écrire un long post mais j’ai envie de crier et un court post peut y arriver.
Une nouvelle histoire du Wall Street Journal, Problème bipartisan des soins de santé: les malades coûtent cher et quelqu’un doit payer, est à la fois très bonne et largement terrible. Malgré le fait que le système de santé américain fasse de plus en plus mal ses résultats et qu’il mâche toujours plus de ressources nationales, la presse et la punditocratie refusent presque sans exception de remettre en question la prémisse fondamentale du fonctionnement du système. N’oubliez pas que le coût du système de santé américain est à peu près le double de celui du PIB par rapport à celui des autres économies avancées, mais donne de moins bons résultats. Un rappel de 2014:
Malgré le système de santé le plus cher, les États-Unis se classent au dernier rang parmi les 11 pays industrialisés pour les mesures de la qualité, de l’efficacité, de l’accès aux soins, de l’équité et de la vie saine du système de santé, selon un nouveau rapport du Commonwealth Fund. Les autres pays inclus dans l’étude étaient l’Australie, le Canada, la France, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni. Bien qu’il y ait matière à amélioration dans chaque pays, les États-Unis se distinguent par leurs coûts et leurs performances les plus élevés: les États-Unis ont dépensé 8 508 $ par personne en soins de santé en 2011, contre 3 406 $ au Royaume-Uni, qui se classait au premier rang.
C’est à peu près le même type de performance que la fabrication soviétique a montré au cours de la décennie précédant l’implosion de l’URSS. Extrait du livre de Yegor Gaidar, Effondrement d’un empire:
Dans la fabrication par unité, l’URSS en 1980 a utilisé 1,8 fois plus d’acier que les États-Unis, 2,3 fois plus de ciment, 7,6 fois plus d’engrais minéral et 1,5 fois plus de bois.
Les causes incluent:
Un système de rémunération à la pièce qui récompense les médecins pour un traitement excessif. Ces incitations sont renforcées en encourageant les patients à attendre trop de médecins et à demander des interventions chirurgicales et des médicaments plutôt que d’accepter qu’ils peuvent avoir à vivre avec des limitations ou une récupération lente. Je déteste me fier à une anecdote, mais combien de médecins sont comme l’orthopédiste maintenant âgé de 75 ans que j’ai finalement trouvé après avoir vu Dieu sait combien de personnes qui n’avaient aucune idée et / ou étaient très désireuses d’opérer. Par exemple, lorsque j’ai appelé son bureau pour entrer parce que j’étais à peu près sûr que je m’étais cassé le petit orteil, il a refusé de me voir et m’a dit de l’enregistrer sur mon orteil suivant. Et ce mois-ci, j’ai réussi à me défoncer dans une mauvaise chute (prouvant au moins que je n’ai pas de problèmes de densité osseuse) alors que j’avais déjà une blessure et que je me suis mis en retrait, puis certains. J’ai clopiné pour le voir. Il a poussé et poussé et m’a fait bouger un peu, m’a déclaré n’avoir fait aucun dommage permanent et m’a dit que j’avais besoin de quelques semaines pour guérir plus et me reposer. Et pour cela, il a facturé 100 $ (l’équivalent fonctionnel des bupkis à Manhattan) alors que je ne l’avais pas vu depuis plus de 10 ans. Quand j’étais à Oz, la plupart des médecins faisaient partie de son école de pratique: leur réflexe si un problème ne semblait pas effrayant était de dire au patient d’attendre dix jours et d’appeler le bureau, et si les choses ne s’étaient pas améliorées matériellement, alors ils enquêteraient plus avant.
De même, j’ai été consterné lorsque je visite des médecins et mentionne ce que je considère comme une plainte mineure, à savoir qu’ils le considèrent presque universellement comme une demande de médicaments et qu’ils sont effrayés de les fournir.
Et des publicités comme celle-ci ne font qu’encourager ce genre de chose. Je ne regarde la télévision qu’un tout petit peu sur le tapis roulant, mais j’ai vu cette publicité sur CNN en prime time à plusieurs reprises. Attention, c’est pour un médicament contre le diabète, mais il semble bien qu’ils vendent un excellent médicament pour les clubs:
La version TV a toutes les séquences de danse et aucun des diagrammes ou des scènes dans la salle de bain, donc le gee c’est une drogue super heureuse »le message est encore plus fort.
Extraction des loyers des compagnies pharmaceutiques. Les États-Unis financent une énorme quantité de R&D de base et demandent beaucoup trop peu. Big Pharma a réussi à créer un régime de propriété intellectuelle qui le rend plus attrayant pour traire les brevets existants et tromper la commercialisation de médicaments que de découvrir de nouveaux médicaments. Plus de 85% des demandes de nouveaux médicaments au cours des 15 dernières années concernaient des extensions de brevets sur des médicaments existants sur la base de reformulations mineures. L’industrie dépense également plus en marketing qu’en R&D, et vous pouvez être sûr que les beancounters allouent autant de frais généraux que possible à la R&D. Pourtant, ils ont réussi à convaincre une grande partie du public et des législateurs complices qu’ils ont besoin de gros bénéfices pour innover »lorsqu’ils se tournent plutôt vers les primes des PDG et des dirigeants.
Pire encore, les abus de marketing des sociétés pharmaceutiques tuent des gens à grande échelle. Vioxx et Oxycontin sont des enfants d’affiches.
Coûts inutiles de la compagnie d’assurance et surcharge des médecins avec des tâches administratives inutiles. L’une des principales raisons de la pénurie de médecins de soins primaires est la difficulté croissante de traiter avec les compagnies d’assurance. J’ai l’impression que la plupart des médecins passent une journée par semaine à se battre pour être payés, en plus de devoir payer du personnel pour s’occuper de la paperasse. Cela conduit de plus en plus de médecins à des pratiques et services de conciergerie axés sur les riches, comme les services cosmétiques et anti-âge, qui sont en dehors du régime médical / assurance.
Les conditions iatrngenic sont un gros problème. Ce n’est pas unique à la médecine américaine, mais j’aimerais voir des statistiques comparatives. Par exemple, entre les superbactéries, le SARM et la pneumonie, toute personne malade doit éviter un séjour à l’hôpital à moins qu’il n’y ait d’autre choix.
Comme nous le savons trop bien, Obama a fait sa réforme des soins de santé »tout au sujet de l’institutionnalisation du pillage du complexe médical industriel. Le projet de loi a été rédigé par des lobbyistes de l’industrie des soins de santé. Les stocks des compagnies pharmaceutiques et des assureurs ont tous deux augmenté lors de son adoption. Même si les assureurs se plaignent de la façon dont ils ont du mal à gagner suffisamment d’argent sur les plans d’échange d’Obamacare (et cela leur sert d’excuse pour les abandonner et / ou augmenter les primes), la presse mentionne rarement qu’ils ont fait de belles affaires sur l’expansion de Medicaid Et n’oublions pas qu’Obamacare a également interdit la réimportation de drogues du Canada.
Alors, ayant choisi de profiter d’une occasion unique pour tenter de résoudre les problèmes fondamentaux d’un système de santé clairement cassé, Obama, comme il l’a fait avec les banques, s’est rangé du côté de puissants titulaires au détriment des Américains ordinaires. Certaines personnes peuvent percevoir qu’elles ont été aidées, mais je me demande combien ont testé leur couverture sur la route en subissant un grave incident. Comme les lecteurs le savent trop bien (et beaucoup nous l’ont dit), si vous êtes heurté par un bus et que vous êtes emmené dans une salle d’urgence qui n’est pas dans votre réseau, les coûts sont à votre charge. Même si vous planifiez une opération en réseau, il est impossible d’empêcher l’hôpital de jouer le système et de programmer des praticiens qui ne sont pas en réseau au sein de l’équipe afin de créer un onglet plus grand (les avocats nous ont dit que vous pouvez contester la facturer avec succès si vous avez exigé qu’ils ne planifient que des professionnels en réseau et qu’ils sont d’accord, mais pourquoi les personnes qui doivent faire face au stress de la récupération d’une procédure majeure devraient-elles subir des combats comme ça?). Comme nous l’avons également discuté, de nombreux assureurs excluent effectivement les conditions préexistantes via des réseaux étroits qui n’incluent pas de spécialistes capables de les traiter.
Pourtant, l’article frustrant du Wall Street Journal fait un excellent travail de discussion sur le problème du traitement des personnes souffrant de maladies coûteuses dans notre système cassé actuel sans reconnaître une fois les problèmes structurels qui rendent la médecine américaine si excessivement chère. Bien qu’il rassemble certaines données utiles, par exemple, que 1% des patients représentent 21% des coûts des soins de santé, bien pire que la règle 80/20 habituelle, il confond cela avec le problème des conditions préexistantes, à la fin de -les soins de la vie sont un gros billet inclus dans ces chiffres.
Le lauréat du prix Nobel Angus Deaton a clairement indiqué ce qui n’allait pas. Le système de santé américain semble conçu de manière optimale pour la recherche de rente et très mal conçu pour améliorer la santé des gens. » Et rien ne s’améliorera tant que nous ne nous attaquerons pas de front à ce problème.
Navigation après
L’un des effets secondaires dangereux de l’élection de multimillionnaires au pouvoir est que vous avez un groupe de personnes complètement déconnectées de la réalité de l’Américain moyen. Ils pourraient tout aussi bien nous gouverner depuis Mars. Ils ne se soucient pas de ce que le citoyen moyen doit payer pour les soins de santé, dans leur esprit, c’est leur problème – j’ai le mien. »
Vous pouvez l’appeler extraction de rente »- ou tout autre terme de fantaisie – mais nous vous prions de commencer à l’appeler ce qui est vraiment = cupidité! La cupidité est devenue une vertu. La cupidité est un puits sans fond – une personne gourmande n’atteindra jamais un point de satisfaction.
Il y a une suffisance dans le monde pour les besoins de l’homme mais pas pour l’avidité de l’homme. » Mahatma Gandhi

 

L’impact du risque de la sous-traitance dans la construction

Le risque du sous-traitant prend de nombreuses formes. La gestion de ces risques est l’un des principaux défis que doit relever tout entrepreneur général. Vous trouverez ci-dessous quatre types de risques causés par les sous-traitants ainsi que des moyens d’atténuer ces dangers.

On dit qu’une once de prévention vaut mieux qu’une livre de remèdes. Cela ne pourrait pas être plus vrai que lorsqu’on engage des sous-traitants pour effectuer un travail. La mise en place d’un contrat de sous-traitance bien rédigé, clair et bref, qui détaille les obligations de toutes les parties, sera la base de toute relation de sous-traitance réussie. À l’inverse, un contrat mal composé, avec des conditions vagues et des responsabilités peu claires, risque de rendre difficile l’application des engagements du sous-traitant.

Les contrats de sous-traitance doivent donc être rédigés dans un langage simple et compréhensible par tous. Ils doivent inclure une affirmation certaine, détaillée et complète de l’étendue des travaux qui identifie exactement ce que le sous-traitant doit livrer et une fois. Le contrat de sous-traitance doit indiquer comment et quand les paiements doivent être effectués, comment les changements doivent être traités et comment les litiges seront résolus.

Les contrats de sous-traitance doivent, dans la mesure du possible, comporter des dispositions satisfaisantes en matière d' »écoulement » qui garantissent que le sous-traitant fournit exactement ce que le maître d’ouvrage exige de l’entrepreneur dans la forme, les quantités, la qualité et le calendrier exigés par le maître d’ouvrage. Par exemple, le contrat de sous-traitance doit contenir une clause stipulant que le « sous-traitant s’engage à respecter toutes les obligations relatives à la fonction (l’objet du contrat de sous-traitance) telles qu’elles sont énoncées dans le contrat principal, dont les dispositions sont incluses par référence ». Ce type de disposition lie le sous-traitant au prestataire de services de la même manière que l’entrepreneur est lié au propriétaire.

Lorsque les obligations des parties à l’égard du contrat de sous-traitance sont négociées et mises par écrit, le prochain grand défi consiste à garantir que le sous-traitant fait effectivement ce qu’il a promis de faire. Les entrepreneurs doivent inclure dans leur contrat de sous-traitance que le sous-traitant fournisse des mises à jour régulières sur l’avancement des travaux, des rapports quotidiens complets et bien documentés, et qu’il consacre des sources adéquates au contrôle de la qualité pour s’assurer que le travail est effectué correctement et conformément aux exigences du contrat principal et du contrat de sous-traitance.

Les entrepreneurs peuvent également exiger du sous-traitant qu’il protège une caution de performance globale, qui garantit la performance globale du sous-traitant en cas de norme ou d’insolvabilité. Si le sous-traitant n’effectue pas les travaux ou les abandonne, l’entrepreneur peut se retourner contre la caution, qui est tenue de prendre la place du sous-traitant et de terminer les travaux (ou de payer pour que quelqu’un d’autre le fasse).

En plus, ou peut-être au lieu, d’exiger qu’un sous-traitant soit cautionné, les entrepreneurs ont la possibilité de souscrire une police d’assurance « subguard », qui leur offre certaines protections en cas de défaillance d’un sous-traitant.

Les effets de la pandémie de COVID-19 continueront à avoir des répercussions importantes sur les projets de construction dans un avenir prévisible. Les chaînes d’approvisionnement mondiales continuant à fluctuer, le respect des délais d’expédition et de livraison des fournitures ainsi que l’accessibilité de la main-d’œuvre sont devenus des problèmes majeurs pour les entrepreneurs qui cherchent à terminer les travaux dans les délais prévus. D’autres instabilités mondiales, comme les affrontements militaires dans des régions critiques qui fournissent les matériaux nécessaires, rendent certains matériaux non transformés difficiles à trouver ou plus difficiles à obtenir. La hausse des prix due à l’inflation, l’augmentation des frais d’expédition ou la montée en flèche du coût des matières premières peuvent également entraîner des problèmes de trésorerie susceptibles d’avoir une incidence sur l’exécution des travaux dans les délais.

Les entrepreneurs doivent évaluer soigneusement les clauses de force majeure de leurs contrats de sous-traitance pour s’assurer que les risques COVID-19 sont efficacement répartis, par exemple pour indiquer quel confort est disponible envers l’entrepreneur et le sous-traitant en cas de pénurie ou d’augmentation du prix des matériaux. Les entrepreneurs devraient envisager d’inclure un libellé qui reconnaît spécifiquement que COVID-19 est un cas de force majeure et qui prévoit une réduction raisonnable mais limitée pour les sous-traitants afin d’encourager la planification préalable et la projection appropriée des coûts, tout en tenant compte de l’incertitude permanente liée aux changements de prix et de livraison. Dans la plupart des cas, la clause de force majeure doit refléter celle qui figure dans le contrat principal. Dans le cas contraire, l’entrepreneur agréé risque de créer une « brèche » dans les contrats, où l’entrepreneur se retrouve avec un risque COVID-19 trop élevé de la part du propriétaire, sans que le sous-traitant ne dispose du recours approprié, ou vice versa.

Les entreprises devraient également penser à inclure une clause « Pas de dommages-intérêts pour retard » qui limite le recouvrement des dommages-intérêts pour retard pour des causes autres que celles créées par l’entrepreneur agréé. La majorité des États appliquent ce type de dispositions, pour autant qu’elles soient sans ambiguïté. Bien que chaque juridiction ait ses propres règles d’application, ces clauses sont le plus souvent jugées inapplicables lorsque le retard :

Est causé par la mauvaise confiance de l’entrepreneur ;

est le résultat d’une conduite délibérée, vicieuse, imprudente ou grossièrement négligente de l’entrepreneur ; ou

est d’une durée déraisonnable et/ou non prévu.

Les entrepreneurs de construction peuvent également motiver les performances globales en matière de respect des délais en incluant des primes d’encouragement si le travail est terminé plus tôt ou dans les délais. Ils peuvent également envisager d’inclure dans le contrat de sous-traitance une clause de problèmes liquidés en cas de retard, qui associe l’assurance par le sous-traitant de terminer la tâche à une date établie à un montant de dommages liquidés (généralement calculé quotidiennement) si l’effort n’est pas accompli à temps. Les entreprises doivent être conscientes que les clauses de dommages-intérêts liquidés ne seront imposées que si les dommages ne sont pas considérés comme une punition pour le manque d’efficacité. Par conséquent, ces clauses doivent être rédigées de manière à refléter le fait que les problèmes en cas d’infraction ne sont pas facilement vérifiables, que la quantité de dommages-intérêts liquidés n’est pas disproportionnée par rapport aux dommages raisonnablement anticipés par le contractant du fait de l’infraction et que le dommage liquidé n’est pas une sanction.

Les entreprises doivent trouver un équilibre entre leurs engagements à payer leurs sous-traitants et la nécessité de préserver des ressources adéquates pour continuer à financer les initiatives de construction en cours. Une façon de maintenir cette harmonie est de négocier des conditions de paiement qui garantissent que l’entrepreneur obtient le paiement de votre propriétaire avant que le sous-traitant ne soit payé. À cette fin, les entrepreneurs peuvent inclure dans leurs contrats de sous-traitance des clauses particulières et expresses stipulant que la réception par l’entrepreneur du paiement de votre propriétaire est une « condition préalable » au droit du sous-traitant au paiement. Ces clauses sont souvent appelées clauses « spend-if-paid », qui, selon de nombreux tribunaux, créent une condition préalable au paiement. Ces clauses se distinguent des clauses « pay-when-paid », qui, selon les tribunaux, ne font qu’établir un délai raisonnable pour la transaction. Plusieurs États interdisent l’inclusion de clauses de paiement en cas de paiement. Il s’agit notamment de la Californie, de New York, du Wisconsin et, plus récemment, de la Virginie. En avril 2022, le gouverneur de la Virginie, M. Youngkin, a autorisé l’adoption d’une loi sur les dépenses sénatoriales 550, Thibault Batiment Industriel qui rend les clauses « pay-if-paid » et « pay-when-paid » inapplicables dans la plupart des cas. Les États qui autorisent de telles clauses exigent des termes très clairs et spécifiques prévoyant que le sous-traitant supporte le risque d’un faible remboursement par le propriétaire.

Avant de passer un sous-traitant, les entrepreneurs doivent également insister pour recevoir des renonciations au privilège et à la réclamation qui déchargent le prestataire de services de toute déclaration de ce sous-traitant. Ces renonciations doivent être rédigées dans les grandes lignes et comporter une disposition stipulant que le paiement effectué par l’entrepreneur « constitue le paiement complet et définitif de tous les travaux effectués et de toutes les charges ou dépenses encourues relativement aux travaux ou aux améliorations apportées à la propriété au moment de cette renonciation, à l’exception du paiement de la provision ». Ils doivent également inclure un libellé selon lequel le sous-traitant « renonce, abandonne et libère toute demande de dommages-intérêts pour cause de retard, d’obstacle, d’interférence, de vitesse, d’inefficacité ou de travail supplémentaire, ou toute autre demande de quelque nature que ce soit qu’il pourrait avoir contre le prestataire de services, le propriétaire ou toute autre personne ou entité ayant un désir légal ou équitable pour la propriété, depuis la date prévue avec cette renonciation et cette libération ». Sachez que certains États, dont l’Arizona, la Californie, la Floride, la Géorgie, le Massachusetts, le Michigan, le Mississippi, le Missouri, le Nevada, le Texas, l’Utah et le Wyoming, réglementent la forme et les articles des renonciations au privilège. Par exemple, la Caroline du Nord a récemment adopté une loi invalidant certaines renonciations à des privilèges et à des réclamations trop larges.

Enfin, les entrepreneurs devraient envisager des clauses d’indemnisation aussi larges que celles qui obligent le sous-traitant à « dégager » l’entrepreneur de toute responsabilité en cas de réclamation ou de responsabilité « découlant » du travail du sous-traitant. Les entrepreneurs en construction devraient discuter de l’ajout de clauses qui traitent de la responsabilité de première partie (par exemple, les réclamations de l’entrepreneur contre le sous-traitant pour ses travaux défectueux) ainsi que de la responsabilité de tierce partie (par exemple, fournir une garantie au fournisseur de services contre les réclamations faites par d’autres personnes en raison des travaux du sous-traitant). Les clauses correctement rédigées comprendront un libellé stipulant que le sous-traitant « indemnisera, protégera et dégagera l’entrepreneur de toute responsabilité à l’égard de tous les accidents, réclamations, dommages, responsabilités, pertes, amendes, pénalités, demandes, facteurs d’action, correspondances, coûts ou dépenses, y compris, (1) l’exécution des travaux par, ou tout acte ou omission du sous-traitant ou de toute personne utilisée directement ou indirectement par eux ou de toute personne dont ils peuvent être responsables ; (2) toute violation des termes du contrat de sous-traitance ; et (3) la négligence ou la responsabilité délictuelle du sous-traitant ou de toute personne utilisée directement ou indirectement par eux ou de toute personne dont ils peuvent être responsables des fonctions, sous quelque théorie que ce soit.  »

Une construction nouvelle des bateaux

Les 70 dernières années ont vu plusieurs révolutions dans le développement de bateaux, mais la plupart des principes essentiels restent inchangés. Bien que l’objectif soit certainement le cadre le moins lourd, le plus rigide et le plus solide possible, quelques stratégies possèdent les sources pour atteindre cet objectif parfait. Même sur la planète des dériveurs plus performants, la plupart devraient abandonner la pratique. Certes, plus de 4 décennies après l’introduction de la fibre de carbone, en dehors des plus hauts échelons de l’activité sportive, le tissu continue d’être principalement utilisé dans les structures de coque pour renforcer les emplacements de poids élevé autour du mât et des quilles des bateaux construits. principalement en fibre de verre. Une exception notable est le parcours Worldwide Moth, en particulier les bateaux Maguire Exocet construits au Royaume-Uni, qui avaient pris les 17 meilleures places lors du tournoi mondial de l’année aux Bermudes. Les coques sont produites à partir d’un sandwich de fibre de dioxyde de carbone à module ultra-élevé avec un noyau en mousse très fin, laminées à la main à l’aide de résines époxy Professional-Set et ne pèsent que 10 kg (22 lb). Une méthode pour créer des fils de verre en vrac a été découverte accidentellement au début des années 1930 et, en dix ans, une résine de polyester antérieure permettait de construire des structures à partir de ces nouveaux matériaux pour aider l’effort de combat. Les premiers adoptants de la guerre des articles au sein de la planète nautique ont fourni à Eddie Tyler, qui a essayé de donner aux ponts de son yawl de 40 pieds Cooya un nouveau style de vie. Simultanément, une fois la coque initiale du Pen Duick terminée, un jeune Eric Tabarly l’a utilisé comme moule à partir duquel créer un remplacement en fibre de verre. Dans les années 1950, plusieurs chantiers navals avaient construit des coques et des ponts en fibre de verre, avec des concepteurs comme le lieu de travail néerlandais Vehicle de Stadt parmi les premiers utilisateurs importants. Ils ont été rapidement accompagnés de plusieurs autres personnes, dont Camper et Nicholson de Gosport. Néanmoins, à ce stade, personne n’a vraiment réalisé à quel point les nouveaux matériaux étaient puissants et les outils d’aujourd’hui pour votre analyse des bâtiments n’étaient pas disponibles. Les bateaux en fibre de verre antérieurs étaient donc invariablement plus que conçus, utilisant des stratifiés épais et solides fabriqués à partir de tapis de brins coupés et de seaux de résine. Souvent, une gestion de haute qualité manquait, de sorte que certaines parties du stratifié étaient riches en résine, ce qui rendait l’armature légèrement cassante, tandis que d’autres n’avaient peut-être pas été suffisamment mouillées, réduisant ainsi la puissance. Dans des limites raisonnables, ces problèmes n’ont généralement pas posé grand-chose étant donné l’efficacité de la structure. Cependant, les défauts de moulage ont rendu ces coques antérieures plus sensibles aux cloques osmotiques, même si, si elles étaient prises en charge à temps, les zones touchées pouvaient être meulées, remplies et carénées. De nombreux yachts de voyage et bateaux de travail ont été construits de cette manière jusque dans les années 1990. Cependant, il est rapidement devenu clair que les bateaux de course profiteraient de meilleures options et au départ, deux avancées ont aidé à l’utiliser. L’un était l’arrivée des mèches tissées, sortie en mer catamaran St Tropez Var dans lesquelles des brins de fibres beaucoup plus longs sont emballés ensemble et mis en parallèle. Cela peut aider à gérer des chemins de charge spécifiques beaucoup plus efficacement que l’orientation unique des fibres de tampon à brins coupés et nécessite moins de résine, ce qui diminue le poids corporel supplémentaire. Les rovings biaxiaux, avec deux ensembles de brins à 90 degrés l’un de l’autre, étaient déjà utilisés pour les yachts de course au début des années 70. Le tissu unidirectionnel, comme son nom l’indique, a tout sauf un très petit pourcentage de fibres fonctionnant dans un seul chemin. Les matériaux bi- et tri-axiaux possèdent le matériau organisé en deux ou plusieurs instructions pour fournir de meilleures qualités tout circulaires. Les angles des fibres des membres de la famille diffèrent selon les matériaux. Un matériau biaxial à 90 degrés a un nombre équivalent de fibres fonctionnant perpendiculairement les unes aux autres avec des qualités égales dans chaque chemin. D’un autre côté, un tissu bi-axial à 45 degrés peut avoir beaucoup plus de résistance dans une seule direction, tout en gardant une meilleure puissance perpendiculaire qu’un matériau unidirectionnel.

Surmonter la jalousie

Les relations sont fondées sur la confiance. Peu importe combien vous aimez votre partenaire, si vous êtes excessivement jaloux, il sera difficile pour votre relation de durer. La jalousie peut peser sur n’importe quelle relation, que vous soyez marié ou que vous soyez en couple depuis des années. Être jaloux est nuisible à votre relation et à vous-même. Les doutes persistants et les pensées négatives peuvent entraîner un stress supplémentaire, ce qui n’est pas bon pour votre santé mentale ou physique.
La première étape pour surmonter votre jalousie est d’accepter le fait que vous êtes, en fait, un partenaire jaloux. Posez-vous les questions suivantes: Est-ce que j’ai un problème avec mon partenaire qui parle aux personnes du sexe opposé (ou du même sexe, pour les couples de même sexe)? Si mon partenaire ne répond pas à mon appel ou à mon message texte dans un délai que je juge acceptable, est-ce que je deviens irrité, que je laisse des messages désagréables ou que je commence à penser qu’il n’est «pas à son avantage»? Est-ce que je me sens menacé que mon partenaire puisse me quitter pour quelqu’un d’autre, même s’il n’a pas été infidèle dans le passé? Ai-je l’impression que mon partenaire se méprend sur ses allées et venues, même si les preuves ne soutiennent pas une telle réflexion? Si vous avez répondu «oui» à l’une des questions précédentes, vous pourriez être un partenaire jaloux.
Si vous vous êtes identifié comme un partenaire jaloux, félicitations. L’acceptation est la première étape pour résoudre le problème. Maintenant, il est temps de comprendre pourquoi vous êtes jaloux. Avez-vous été blessé dans le passé? Votre partenaire a-t-il fait quelque chose spécifiquement qui ne vous fait pas confiance? Si vous croyez que vous êtes jaloux à cause des transgressions passées d’autres partenaires, rappelez-vous que tous les gens ne sont pas pareils. Ce n’est pas parce que John Doe vous a blessé dans le passé que votre partenaire actuel fera la même chose – à moins, bien sûr, que vous ne voyiez les mêmes schémas que votre ex. Si votre partenaire actuel a fait quelque chose qui vous rend peu sûr, discutez-en avec lui. Évitez d’utiliser le mot «vous», comme dans «Vous me faites sentir … quand …» Au lieu de cela, utilisez «Je» comme dans «Je me sens mal à l’aise quand …» ou «Je m’inquiète de notre relation quand. .. « Utiliser » je « au lieu de » vous « fera que votre partenaire se sentira comme si vous possédiez vos sentiments, plutôt que de les accuser. Cela devrait débuter un dialogue sain entre vous et votre partenaire qui vous aidera à vous sentir moins en sécurité dans votre relation.
Bien sûr, nous étions tous bénis avec quelque chose appelé intuition, ou notre voix intérieure. Si votre voix intérieure vous dit que quelque chose ne va pas, vous voudrez peut-être écouter cette voix. Cependant, si vous décidez d’écouter la voix intérieure qui vous dit que quelque chose ne va pas, vous devez mettre fin à la relation. Il n’est pas juste que votre partenaire, ou vous-même, continue dans une relation où il y a un doute substantiel. Sinon, si vous décidez que votre jalousie n’est pas fondée, faites un effort pour arrêter vos tendances jalouses. Vous allez vous remercier à la fin.

Votre site internet vaut de l’argent

L’agitation des systèmes financiers, le travail qui devient automatique, SEO Pros la nécessité d’adapter les capacités pour suivre les innovations technologiques. Dans un monde en constante évolution, nous devons savoir comment gagner de l’argent. Avoir plusieurs sources de revenus semble être le véritable secret de la protection financière. Tout en conservant notre activité normale de 9 à 5, la monétisation d’une passion – l’écriture, les voyages ou l’artisanat – peut être une méthode pour augmenter nos revenus. Et quel meilleur moyen d’y parvenir que de puiser dans la blogosphère en pleine expansion ? Les recherches montrent qu’environ 77 % des utilisateurs en ligne dans le monde lisent des blogs. L’une des plus grandes plates-formes de blogs, WordPress, qui héberge plus de 60 millions de weblogs, a sauté sur cette tendance, avec des clients créant 2,5 milliards de nouveaux articles chaque jour ! Il existe sans aucun doute un marché pour ce contenu mais, en réalité, dans ce marché saturé, il est improbable de faire de l’écriture d’un blog un travail à plein temps. Des enquêtes menées à l’étranger situent le nombre de personnes qui gagnent de l’argent en écrivant un blog entre 5 et 8 %. Au lieu de cela, concentrez-vous sur la création d’un excellent site en ligne avec un contenu fantastique et, à l’aide d’un plan d’affaires stratégique soigneusement élaboré, envisagez lentement d’inclure des outils qui vous aideront à générer un peu plus d’argent grâce à cette activité passionnelle. Si gagner un peu d’argent est important, vous suivez un weblog auto-hébergé, pas vraiment un weblog gratuit. Pour l’auto-hébergement, vous devrez choisir une société d’hébergement pour votre weblog (une entreprise qui héberge votre site sur son serveur, afin que votre site puisse être vu sur Internet) et un nom de domaine (le nom de votre site Web, comme joesoapblog.co.za). Je vous suggère d’aller sur za.godaddy.com pour enregistrer un ‘.com’ ou ‘.co.za’ – le tout premier nom que vous enregistrez coûte 10 R et l’hébergement web commence à 29 R par mois. GoDaddy peut également vous aider à créer un blog WordPress. Juste après avoir acheté votre nom de domaine et votre hébergement, vous pouvez créer un blog sur une plateforme comme wordpress blogs.org ou blog writer.com. WordPress blogs est l’un des systèmes les plus populaires au monde, mais assurez-vous de l’installer sur wordpress.org et non sur wordpress.com – bien que ce dernier soit gratuit, il y a des limitations. Par exemple, vous ne pouvez pas monétiser votre blog wordpress blogs.com, et les articles de contenu sont la propriété de WordPress, ce qui signifie que si quelque chose viole leur relation d’utilisation, ils peuvent fermer votre site de blog. Alors que Blog writer est un système gratuit géré par les moteurs de recherche qui permet la monétisation et de travailler avec votre nom de site personnel, il fournit également l’autorité de suspendre votre blog. Renseignez-vous sur la plate-forme que vous choisissez d’utiliser, et n’oubliez pas que si les blogs gratuits semblent plus attrayants pour les débutants, vous aurez plus de liberté avec un blog auto-hébergé ; en revanche, vous devrez gérer votre propre sécurité et vos sauvegardes. Votre marché doit être la première chose à laquelle vous pensez. S’il s’agit des plantes ou de l’éducation des enfants, choisissez ce sur quoi vous allez bloguer et devenez stable. Les blogueurs professionnels passent du temps à réfléchir au style de leur site, à la conception et à l’édition des images, à la fréquence de leurs articles et à l’optimisation des moteurs de recherche (Search engine optimization). L’optimisation des moteurs de recherche est essentielle. Il s’agit de l’utilisation judicieuse de mots-clés pour créer un contenu plus facile à trouver. Lorsque quelqu’un cherche quelque chose sur Google, si votre blog contient une expression clé de recherche, il peut apparaître comme le meilleur résultat. Consultez udemy.com ou getsmarter.com pour des cours d’optimisation des moteurs de recherche. Le marketing des médias sociaux aide à rendre votre blog disponible et à le faire voir à d’éventuels sponsors. Pour informer les gens des nouveaux articles, utilisez Twitter ou Facebook, en utilisant un plugin pour ce faire. Un plugin est un outil téléchargeable – payant ou totalement gratuit – qui ajoute des fonctionnalités à votre site Web, comme la possibilité de partager des articles sur les médias sociaux ou de créer un type d’indication.

S’envoler en hélicoptère

L’hélice chinoise, jouet reconnu dans les pays européens depuis les groupes du Moyen Âge, nécessite la création du rotor de support très en arrière. L’attention de leur application aux dispositifs d’envol a été perçue très tôt; En témoignent bien les célèbres dessins de Léonard de Vinci, les nombreux projets ou maquettes d’envolées qui se sont manifestées aux XVIIIe et XIXe siècles et, en 1863, le Manifeste de l’autolocomotion atmosphérique de Nadar : « C’est l’hélice, vol en hélicoptère l’hélice sacrée !  » qui nous transportera dans l’atmosphère, alors que la perspective entre dans le bois. » Malheureusement, les premiers efforts de vol des compagnies aériennes (les français P. Cornu et L. Breguet en 1907) n’avaient guère été concluants et la plupart des pionniers se sont alors tournés, Breguet le tout premier, vers l’avion, au départ beaucoup moins exigeant. L’hélicoptère présente, en effet, de redoutables problèmes de puissance, d’endurance mécanisée, de pilotage, qui étaient passés à la portée de la technique de l’époque. Conçue dès le XVe siècle par Léonard de Vinci, qui devint une vérité en 1784 lorsque le naturaliste Launoy ainsi que le physicien Bienvenu produisirent devant l’Académie des sciences un modèle réduit « capable de s’élever dans les airs et de s’y diriger par le seul mécanique indique, « l’hélicoptère prit une part essentielle de 1907. En effet, le 24 août, Louis et Jacques Breguet expérimentèrent à Douai leur autogire, un équipement construit avec l’aide de Charles Richet et doté de quatre voyages d’ailes flottantes dessin animé par Propulsé par un moteur Antoinette de 40 chevaux, l’avion, piloté par l’aéronaute Volumard, décolle efficacement et parvient à rester immobile à 60 pouces du sol. Puis il réduit progressivement la vitesse du moteur avant de reprendre progressivement et en douceur la connexion avec Il s’agit du premier vol stationnaire de plus d’une minute.Le 13 novembre 1907, Paul Cornu, aux commandes de son nouvel hélicoptère construit avec un moteur Antoinette de 25 cv, fait son premier ly vol totalement libre vers Lisieux (sans être maintenu au sol avec un hyperlien), à très basse altitude (environ 30 cm). à partir du sol). Lors du deuxième test, l’appareil retire non seulement son conducteur à 1,50 m du sol, mais aussi le copain du conducteur qui pend à votre châssis. Ces spectacles apparemment idiots signifient les toutes premières actions de l’hélicoptère, une phase avant son amélioration dans les années 1930. L’hélicoptère, par conséquent, peut décoller ou atterrir de haut en bas, effectuer un vol stationnaire prolongé, sans nuire à l’environnement. , tout en restant parfaitement maniable. Il est également capable de planer dans toutes les directions, y compris latéralement ou en sens inverse. Il reste sécurisé en cas de dysfonctionnement du moteur, car il peut certainement fonctionner en vol plané en avion, en utilisant son rotor en position de rotation personnelle. Ces compétences inégalées en font l’instrument essentiel de nombreux emplois civils et militaires, dont le montant ne cesse de croître avec l’amélioration technologique et économique. Le chopper a enfin pu, dans les années 50, fournir tout son potentiel grâce au turbomoteur, léger, puissant, simple à monter. Les conflits en Corée, en Algérie et au Vietnam ont confirmé sa valeur militaire et ont déclenché le développement d’une puissante industrie spécifique. Dans les années 1970, les exigences de la recherche et de l’exploitation pétrolières sur la propriété et en mer ont permis d’adapter et de produire des avions civils de tonnage moyen avec des charges utiles plus élevées et un réseau amélioré. Leur utilisation intensive pour des raisons de rentabilité a contraint les fabricants à créer des améliorations dans le domaine des coûts de maintenance et d’exploitation. Par ailleurs, ayant tiré les leçons des affrontements du début des années 1990 (Gulf Battle), les producteurs ont créé des hélicoptères de combat spécialisés pour la lutte anti-conteneurs et l’assistance aux troupes au sol, de jour comme de nuit. Ces unités avaient été mises à l’épreuve au sein des combats en Irak où elles jouaient un rôle clé.